Zanzibar, en l'an de grâce 1596, Charles nguni est un Prince âgé de 20 ans du Royaume de Bemba. Le roi Jean Ier, son père, s'est converti au catholicisme et a choisi le christianisme comme religion d'Etat aux exigences du roi HENRI IV de france pour assurer un bel avenir à son pays.
Charles est réputé pour son intelligence, mais aussi, pour sa beauté, hommes et femmes le désirent. Il est très différent d'autres jeunes hommes de son âge, qui aiment la chasse, les compétitions sportives, etc. Charles aime plus tôt la littérature, le chant et la danse. Il est mince et de taille moyenne, peau lisse et imberbe.
Il est le seul homme de son pays, à avoir les cheveux longs frisés, il passe des heures pour y prendre soin avec du beurre de Karité qu'il commande de l'Afrique de l'Ouest.
-Jean, le Roi : mais où est charles ?
Le serviteur : il est dans ses appartements mon roi.
-Jean : Charles, mais que faites-vous ?
-Charles : rien de spécial, père.
-Jean : je dois vous parler d'une chose très importante, ... Votre mariage
-Charles : mais père, je désire de ne point me marier.
-Jean : je sais que vous désirez de devenir prêtre, mais vous êtes mon seul fils et je rêve d'avoir descendance. Des petits-fils qui porteront le nom de Nguni.
-Charles : comprenez-moi père, qu'est ce qui compte pour vous ? Le bonheur de votre fils ou le vôtre ?
-Jean : mais vous ne pouvez pas devenir prêtre, car vous êtes l'héritier, ...
-Charles : c'est à cause de vos lois père, que je veux devenir prêtre, car vous ne m'autoriserait point d'épouser un homme, oui père, j'aime les hommes, je suis amoureux de Pascal, le duc de Baza.
-Jean : abomination, mon fils le prince, ne peut être un sodomite, que vous a-t-il fait mon fils, sorcellerie ?
-Charles : non père, on s'aime fort bien. Acceptez notre union si vous ne voulez pas que je devienne prêtre.
-Jean : malheur à vous ! Moi qui croyais que le duc et vous étudiaient dans votre chambre pendant la nuit l'histoire du pays, mais vous... Je vais le faire pendre.
-Charles : non père, le duc est un bon soldat, un bon guerrier, pensez à ce qu'il a fait pour le royaume, épargnez sa vie.
-Jean : je vais le tuer.
-Charles : non, ne faites pas cela, recevoir le sexe du duc est si mauvais pour vous père, cela me fait du bien au contraire, mon bonheur devrait être plus important que tout, je suis votre seul fils.
-Jean : serviteur !
-Serviteur : oui mon roi !
-Jean : emmenez le prince à l'église pour qu'il soit lavé à l'eau bénite et exorcisé, il a perdu sa pureté.
Gardes ! Capturez le duc de baza.
-Charles : je dois vite prévenir Pascal, on doit fuir pour Paris. Certes, un long voyage mais, nécessaire.
Après un long moment de route, Charles arrivent bien avant la garde royale, pour prévenir son amant, qui est pourtant marié et a trois enfants.
-Charles : bonjour, Pascal.
Pascal : que vous arrive-t-il mon amour ? Vous m'avez l'air inquiet.
-Charles : c'est mon père, il a su pour nous deux et il veut vous faire pendre. Pardonnez-moi mon amour, le roi veut que j'épouse sa nièce Béatrice et je n'ai pas pu m'empêcher de lui dire toute la vérité nous concernant.
-Pascal : c'est terrible.
-Charles : laissez votre femme et vos enfants ici, le roi ne leur fera point du mal. Je veux que nous partions pour Paris, là-bas, on sera en sécurité.
-Pascal : mais, c'est fort loin Paris. Il faudra des mois pour y arriver, Zanzibar est si loin de Paris.
-Charles : oui, mais c'est pour que nous vivions en paix.
-Pascal : non, je préfère affronter le roi et lui dire à quel point je vous aime. Venez avec moi.
Pascal, l'emmène dans une grotte, remplie de bougie, il avait préparé une soirée romantique au sein de la grotte.
-Charles : que faisons-nous ici, Pascal ?
-Pascal : je voulais vous inviter à passer une soirée romantique avec vous prince, je vous aime beaucoup. Je désire vous connaître corps et âme, le voulez-vous ?
-Charles : oui, mais...Mon père, le roi veut vous tuer... Partons de Zanzibar.
-Pascal : j'ai envie de vous, je désire faire l'amour ici avec vous, je vous aime et je suis prêt à affronter le roi et lui prouver mon amour pour vous.
-Charles : vous serez mort bien avant de prouver quoi que ce soit.
-Pascal : schhhhhh.... Ne dites plus rien, laissez moi vous baiser tendrement.
Seuls dans la grotte, Pascal enlève la tunique royale de Charles, le déshabille, le soulève puis le pose sur une grosse pierre.
Pascal, n'avait qu'une envie, lécher le cul de son amant, réputé pour avoir un cul bombé et mou.
Couché sur le dos, jambes en l'air, Charles comprends ce que veut pascal et il le laisse faire.
Dans la grotte, le bruit de la langue de Pascal léchant le trou de charles retentit. Le plaisir étant tellement intense que charles lui tient la tête.
-Charles : oui, oui pascal, ne vous arrêtez point. Ahhhh, je suis à vous...
-Pascal : voulez-vous prendre mon sexe dans votre bouche mon amour ?
-Charles : oui...
Charles, lui pompe pendant plusieurs minutes, il lui suce comme si sa vie en dépendait.
-Charles : embrassez- moi.
Ils s'embrassent longuement et sauvagement, pascal lui suce les seins, le coup. Charles apprécie tellement de se faire sucer les tétons qu'il lui tient la tête, il lui dit de ne jamais s'arrêter.
-Pascal : vous aimez beaucoup ?
-Charles : oui, vous êtes divin, vous êtes tellement beau. Vous êtes si fort et grand, vous me plaisez beaucoup, votre corps est si puissant.
-Pascal : votre corps est si magnifique, votre peau est si lisse, votre cul est tellement mou que je ne m'enlace pas d'y toucher, ...
-Charles : Pascal, m'aimez-vous ?
-Pascal : oui mon amour, vous êtes la personne qui me fait ressentir des frissons, je pense beaucoup à vous .
-Charles : vous avez des mains si puissantes, avec des gros doigts, pourrais-je sentir la puissance de vos doigts en moi ?
-Pascal : oui, mon amour, je vous aime.
-Charles : ohhhhh ouiiii, pascal, quelle puissance, continuez....
-Pascal : ohhhh, c'est si chaud, si étroit, ... Puis-vous prendre ?
Charles prend de l'huile de vache et l'applique sur le sexe de son amant.
-Charles : allez-y doucement.
-Pascal : ne vous inquiétez pas, j'y vais doucement.
À 4 pattes, charles donne son cul.
-Charles : oui, vas-y doucement, ouiiiiii ahhhhh....Pascal, ooohh pascal, uhhhhhh
-Pascal : charles, je vous aime, vous êtes bien bon, votre cul est meilleur que celui de ma femme. Il est si chaud, uuuuhhh, pourquoi n'êtes-vous pas ma femme, ...
Charles : vous allez si vite...
-Pascal : oui, ecartez bien vos jamabes, ...
-Charles : ahhhhhh, ...uuhhhhh
Pascal, le soulève et le met en califourchon sur lui...
Pascal, si fort qu'il est, le soulève sans problème en étant debout.
-Charles : vous allez si vite, Pascal.
-Pascal : oui, c'est bon. Je vous aime...c'est tellement bon... Je dois y aller vite, que je ralentisse ?
-Charles : non, allez-y comme cela. C'est tellement bon, ahhhh.
Je vous aime...
-Charles : pourquoi avez-vous arrêté ? Allez-y , baisez moi.
-Pascal : schhhhhhh... Il y a du bruit à l'extérieur...
Rhabillez-vous !
À l'extérieur, Pascal y voit une armée de chevalier arabe, avec plusieurs sujets du royaume capturés pour être vendu comme esclave.
Étant arabophone, il comprend que l'armée arabe prévoit d'attaquer le palais royal et tout zanzibar, tout en tuant les femmes et en capturant des hommes.
Il le raconte à Charles, puis décident de s'enfuir vers un passage secret au fond du grotte pour prévenir le roi.
-Charles : mais comment ont-ils pu entrer sur nos terres ? Nous possédons une très puissante armée.
-Pascal : il y a forcément des traîtres au sein de l'armée, on doit vite prévenir le roi. Mais avant, je dois mettre ma femme et mes enfants à l'abri, vous, partez seul et prévenez le roi. Prenez soin de vous, je vous aime 3 x 1000.
Ils se séparent ensuite, ...
Pascal, arrive dans sa propriété, il trouve tous ses soldats et serviteurs tués. Il court vite dans son château et trouve sa femme par terre, égorgée.
-Pascal : mais pourquoi ! Où sont mes fils ?
Ils cherchent partout.
.... Et ne trouvent pas ses fils, à ce moment, il comprend qu'ils sont capturés par les Arabes, il prend son armure et rejoint vite Charles, chez le roi.
-Jean : mais d'où venez-vous, prince .
-Charles : père, les Arabes nous attaquent et ils ont capturé un bon nombre de nos sujets pour le vendre.
-Jean : mais que racontez-vous ! Si nous étions attaqués je serais mis au courant.
-Charles : Pascal, le duc de baza a dit qu'il y avait certainement des traîtres au sein de l'armée. J'ai vu des Arabes de mes propres yeux père. Croyez-moi.
-Jean : l'heure est grave si ce que vous dites est vrai, mais je n'oublie pas Pascal, je vais le pendre quoi qu'il en soit.
-Pascal : majesté, pardonnez-moi de me présenter devant vous sans invitation, mais l'heure est grave. Je sais que vous vouliez me pendre, laissez moi vous dire mon roi que j'aime beaucoup votre fils charles, je suis amoureux de lui, j'accepterais votre sentence mais les Arabes nous attaquent et la sécurité de nos sujets est plus importante que tout. Ils ont tué ma femme et enlevé mes enfants. Je suis prêt à combattre auprès de vous malgré nos divergences, vous êtes mon roi.
-Jean : certes, vous êtes un bon guerrier, vous avez prouvé votre loyauté par le passé, mais je ne peux pas laisser un sodomite qui a envoûté mon fils combattre à mes côtés. Gardes, mettez le en prison, il sera pendu après être occupé des Arabes.
-Charles : mais père...
-Jean : taisez-vous ! Vous allez être escorté jusqu'à Ntabamayi pour vous cacher jusqu'à ce que les choses se calment. Je ne voudrais pas qu'il vous arrive malheur, vous êtes le prince héritier.
Escortez le prince jusqu'a Ntabamayi, il y sera en sécurité.
Triste de ne pas pouvoir aider son amant le duc, il décide de revenir, aussi tôt si les choses s'arrangent.
Après deux heures de route en escorte, Il apprend que les Arabes ont pris d'assaut le palais et qu'ils ont tué tous les membres de la famille royale à l'exception de son père qui s'est exilé vers le Kenya. Il décide de rentrer à zanzibar pour sauver son amant le duc.
-Serviteur : mais où allez-vous mon prince, votre père, le roi nous a ordonné de vous escorter jusqu'à Ntabamayi.
-Chrarles : désolé, je dois retourner à Zanzibar.
À son arrivée, ils voient des milliers d'hommes et jeunes hommes enchaînés, il décide d'aller libérer son amant le duc au dojon sans se faire remarqué.
-Pascal : mais que faites ici mon amour.
-Charles : je ne pouvais pas vous laissez ici, aux mains des Arabes, ils allaient vous capturer vous aussi tôt ou tard. Je vous aime.
Ils s'embrassent.
-Pascal : mais comment êtes-vous arrivé jusqu'ici sans vous faire prendre, vous ne savez pas vous battre, votre peau est si belle pour que vous l'abimiez.
-Charles : j'ai pris un passage secret, que seul les membres de la famille Nguni connaissent.
Suivez moi, on doit partir pour Ntabamayi, là-bas vous pourrez trouver une solution pour libérer nos sujets et retrouver vos fils.
Vers la route de Ntabamayi, ils croisent une dizaine de chevalier arabes qui les capturent et les enchaînent comme d'autres.
-Pascal : vous n'auriez pas du revenir, vous êtes le prince heritier.
Charles : mais je vous aime Pascal.
Ils seront au moins 10 000 hommes à être vendu au moyen orient, après plusieurs jours passé en mer.
Arrivé, à Kaboul Pascal, Charles et 3 autres sont vendus à Adam Khan, frere de lait du roi de l'empire moghol Jalâluddin Muhammad Akbar.
Adam khan, apprend par les arabes que Charles est le fils du roi jean Ier de Bemba, et decide de le garder puis revend les 4 autres par des familles riches d'Agra, la capitale de l'empire moghol.
Charles est triste d'être séparé de Pascal, mais surtout de sa nouvelle vie d'esclave qui n'allait plus être facile, lui qui a grandi dans le luxe de son palais.
Adam Khan est très grand, un grand guerrier avec une voix imposante et au regard persant.
Il lui fait comprendre qu'il n'était plus un prince et qu'il devra travailler très dur pour lui et qu'il avait tout le droit sur lui, de le frapper, de le tuer et même de le violer...
Mais tout bascule lorque Charles rencontre le roi Jalâluddin Muhammad Akbar.
Vita
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